Joséphine au Panthéon

Aujourd’hui est un grand jour : Joséphine Baker entre au Panthéon, devenant ainsi la première femme noire à être « panthéonisée« .

Les P’tites Nanas avaient consacré un article à Joséphine. C’est l’occasion de vous le partager à nouveau pour rendre hommage à cette grande dame.

Joséphine Baker, de son vrai nom Freda Josephine McDonald, née le 3 juin 1906 à Saint-Louis, dans le Missouri, aux États-Unis, et morte à 68 ans à Paris, est une chanteuse, danseuse, meneuse de revue, actrice,  et grande Résistante durant la seconde Guerre mondiale.

Sa carrière : Le 25 septembre 1925, le Berengaria, bateau sur lequel Joséphine Baker a effectué la traversée, arrive au port de Cherbourg. Le temps de se rendre à Paris et, très vite, les répétitions commencent. Le 2 octobre 1925, elle passe en première partie dans la Revue nègre au Théâtre des Champs-Élysées. Vêtue d’un simple pagne de fausses bananes, elle danse sur un rythme de charleston — musique alors encore inconnue en Europe — l’interprétation d’un tableau baptisé La Danse sauvage. Le scandale fait rapidement place à l’engouement général. Elle devient l’égérie des cubistes qui vénèrent son style et ses formes, et suscite l’enthousiasme des Parisiens pour le jazz et les musiques noires.

L’année 1930 consacre Joséphine comme chanteuse. Outre La Petite Tonkinoise, Vincent Scotto écrit pour Josephine Baker en 1931 J’ai deux amours, jouant à la fois sur son statut exotique d’étrangère et sur son attachement profond à sa ville adoptive. Le succès est immédiat et l’argent coule alors à flots.

Quelques rôles lui sont proposés au cinéma. Elle tourne notamment sous la direction de Marc Allégret puis dans deux films qui lui sont consacrés et dont Abatino écrit le scénario : Zouzou avec Jean Gabin.

Elle acquiert la nationalité française en épousant en 1937 le jeune raffineur Jean Lion, pour un mariage éphémère (elle avait déjà été mariée à 2 reprises). Le nouveau couple s’installe au château des Milandes en Dordogne.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle joue un rôle important dans la Résistance en devenant agent du contre-espionnage. Elle s’acquitte de missions importantes, et reste connue pour avoir utilisé ses partitions musicales pour dissimuler des messages. 
Ses activités et sa bravoure lui vaudront la médaille de la Résistance française avec rosette et, quelques années plus tard, les insignes de chevalier de la Légion d’honneur et la Croix de guerre 1939-1945.

En 1947, elle épouse Jo Bouillon, chef d’orchestre de renom, dans la chapelle du Château des Milandes. Ils partagent ce même idéal de fonder un « Village du Monde, Capitale de la Fraternité universelle ». C’est ainsi qu’ils adoptent 12 enfants de nationalités et de religions différentes, composant ainsi « La tribu arc-en-ciel ».

Malheureusement, trop généreuse et certainement très naïve, Joséphine ne parvient pas à gérer ses entreprises, et c’est la faillite. Son château est vendu pour une somme dérisoire. Pour rembourser ses dettes, elle remonte sur scène. Elle célèbre ses cinquante ans de carrière au théâtre de Bobino à Paris et y fait un triomphe ! Elle y retrace toute sa carrière, les épisodes heureux et malheureux.

Mais Joséphine est épuisée. Après quelques représentations, elle est retrouvée inanimée dans l’appartement qu’elle occupe à Paris. Transportée d’urgence à la Salpetrière, elle meurt le 12 avril 1975 des suites d’une hémorragie cérébrale.

Les P’tites Nanas ont encadré la même carte, offerte par la Médiathèque de l’Architecture et du Patrimoine, nichée au Fort de Saint-Cyr de Montigny-le-Bretonneux.

by Valérie / Elles-en-Cadres

 

by Laurence / Elles-en-Cadres

 

Notre invitée du jour… Marie-Claire RAMAT !

Aujourd’hui, LE coup de coeur des P’tites Nanas est Marie-Claire RAMAT, une artiste-peintre que nous avons découverte à l’occasion de l’un de nos premiers concours d’encadrement de fin d’année. Depuis, c’est avec bonheur que nous croisons régulièrement le chemin de cette p’tite blondinette qui ne cesse de nous surprendre et nous inspirer par ses techniques innovantes et son imaginaire foisonnant.

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Autoportrait express d’une passionnée :

*Alsacienne de cœur et d’esprit, Ignymontaine d’adoption, j’aime -ou j’ai aimé- les voyages et les randonnées lointaines.

Je suis venue à la peinture après ma vie de travail, entamant ainsi ma seconde vie. J’ai pratiqué l’encadrement avec bonheur et je peins depuis une quinzaine d’années, prenant quelques cours et participant à des stages ici et là.

J’aime couper, déchirer, assembler, coller !!! … A 79 ans -que j’assume !- il me reste encore plein de techniques à explorer, de matières à triturer.

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.EEC : Marie-Claire, d’où puises-tu toutes tes idées, ton inspiration ?
Dans la nature, la végétation, les roches, les cristaux… la géométrie… la Planète Mars…

Rontitude

Attitude

EEC : Quels sont tes peintres préférés ? Picasso, Fernand Léger, David Hockney et tant d’autres encore !

EEC : Quelle a été ta peinture la plus folle/extravagante ? Une peinture sur bois aggloméré, de 1m x 1m20

EEC : Sur quoi travailles-tu en ce moment ? L’incendie de Notre-Dame, la flèche en feu, la charpente… 
Cette porte fait partie de la série « Notre-Dame » que je devais exposer ce mois-ci à la Maison Félix de Montigny-le-Bretonneux. L’expo est hélas reportée à 2022.

*
(nota  EEC:  cette  oeuvre nous  montre  une  nouvelle  facette  de  Marie-Claire, les  explosions  de  couleurs  laissant  place  au  silence  et au  recueillement).

 

 

EEC : Pour conclure, peux-tu nous inviter dans ton atelier Marie-Claire ?

*

Et voilà !
Pour prolonger la visite, vous pouvez me contacter
*
par e-mail : claire.ramat@orange.fr
ou m’appeler au 06.32.17.25.67
*

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Un grand merci à Marie-Claire d’avoir joué le jeu de l’interview, de nous avoir invitées dans son monde imaginaire, fait de couleurs, de rêves et d’un peu –beaucoup– de folie ! Les P’tites Nanas sont pressées de pouvoir admirer pour de vrai ses nouvelles œuvres lors de ses prochaines expos.

Les peintures de Marie-Claire sont sources d’inspiration pour nos encadrements, par ses couleurs, ses reliefs, sa lumière, ses contrastes et sa modernité.  (Re)Découvrez quelques uns de nos encadrements en cliquant sur les liens ci-dessous (d’autres sont à découvrir très prochainement !)
Et mon tout est ?… Le Mont Ventoux ! 
Concours 2010
Abstrait / 2
Abstrait
Temps d’orage
Cimaises au sommet

 

 

Bonne fête Mamie !

Un grand jour aujourd’hui : l’une des 2 P’tites Nanas célèbre sa première fête des grands-mères ! et n’est pas peu fière ! devinez laquelle ? allez, un indice… elle se fait appeler Mamilau… de toute façon, l’autre est bien trop jeune 🤣

Cette fête plutôt récente, puisqu’elle date de 1987, est bien sûr commerciale, mais c’est aussi l’occasion de mettre à l’honneur toutes nos Mamies, qui en ont bien besoin en ces temps difficiles où elles doivent rester à l’écart de leurs proches pour se protéger (et une pensée aussi pour les Papys, bien sûr).

Alors, Bonne Fête à toutes les Grands-Mères ! que ces quelques fleurs puissent leur apporter bonheur, tendresse, douceur, amour et affection à partager avec leurs petits-enfants !

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  by Laurence / Elles-en-Cadres

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  by Laurence / Elles en Cadres

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  by Laurence / Elles en Cadres

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  by Carole / Elles en Cadres

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  by Carole / Elles en Cadres

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  by Carole / Elles en Cadres

Souvenir du Vietnam

Et voilà, comme annoncé sur notre page FB la semaine dernière, le projet du moment était l’encadrement d’une jolie aquarelle ramenée du Vietnam. Pour être honnête, j’avoue l’avoir mise de côté un bon moment, car -de retour à la maison- elle m’avait parue un peu tristounette et très classique (bon, j’avoue aussi que la procrastination a dû jouer son rôle ralentisseur). Mais vous connaissez le caractère combatif des P’tites Nanas ! Quand mon œil s’est attardé sur les petits foulards rouges des dames, cela a été le premier déclic : exploiter cette couleur pour animer l’ensemble. Puis je me suis alors souvenue d’un magnifique papier griffonné de traits noirs que j’avais acheté il y a fort fort longtemps à l‘Eclat de Verre (pour un autre projet qui attend encore…). Il s’agit d’un papier indien imprimé toile de lin sur fond gris très clair, en harmonie parfaite avec le treillage des paniers. Et hop ! .. second déclic !

Quelques coups de cutter plus tard, voici le résultat : le PP, de la même couleur que le fond de la carte (papier déniché dans notre autre boutique fétiche « Cadres en Vie » à Coignières), repose sur une hausse en carton-mousse de 2cm. J’ai mis du papier déchiré blanc sous le carton souligné par un filet gris dépassant afin qu’il se détache mieux sur le fond, qui lui est d’un marron un peu plus soutenu et d’un aspect style kraft. Le papier rouge vif recouvre un carton de fond, tout comme le noir et le gris à traits, ce qui donne une belle épaisseur finale. Petits détails : j’ai prolongé les lignes de perspectives par des bandes de papier noir collées sous le côté droit et des bandes, grise et blanche, sous le côté gauche.
Pas mécontente du résultat car je pense avoir réussi à m’éloigner du côté classique du sujet.

Maintenant, se pose la délicate question de la baguette :
Noire ou gris argenté ? Mon choix est fait : la noire, car elle fait plus écho au dépassant noir sous le rouge… mais cela ne fait pas l’unanimité… Et vous, quelle est votre préférence ?

Version « Baguette noire »

Version « Baguette gris argenté »

 

Festival des P’tites Nanas : The Palmarès !

Le Festival des P’tites Nanas est terminé ! voici l’heure d’annoncer les résultats du vote du jury (vous !). Comme toute remise des prix qui se respecte, nous nous devons, tout d’abord, d’adresser quelques remerciements :

• aux votants qui ont bien voulu jouer le jeu en likant nos réalisations ! et qui sont sortis de leur confinement pour nous faire honneur ! un grand merci à vous !
• à nos Cop’s, qui nous ont prêté leurs créations pour animer ce Festival : Anne, Isabelle, Patricia, Valérie

Sans plus attendre, le palmarès !

1. le prix du Jury : ex-aequo Marlon Brando et Alain Delon (respectivement by Carole et Laurence)
2.  le Grand Prix : ex-aequo Joséphine Baker et Yves Saint-Laurent (respectivement by Valérie et Carole)
3.  la Palme d’Or : Brigitte Bardot (by Laurence)

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Le Festival des P’tites Nanas #9

Crise sanitaire oblige, le Festival de Cannes n’a pas lieu cette année…  Pas de panique, les P’tites Nanas ont LA solution et vous proposent de découvrir, chaque jour, une star qu’elles  et leurs Cop’s ont « encadrée ». Soyez membre du Jury et votez pour votre star préférée : likez tout simplement, et la star qui aura récolté le plus de « like » emportera la Palme d’Or ! (vous pouvez liker pour plusieurs stars bien sûr).

5.4.3.2.1 : Action ! Festival des P’tites Nanas… Jour 9

Marilyn Monroe, née Norma Jeane Mortenson (Norma Jeane Baker selon son certificat de baptême) le 1^er juin 1926 à Los Angeles, où elle est morte le 5 août 1962, est une mannequin, actrice et chanteuse américaine. Plus d’un demi-siècle plus tard, elle continue d’être une icône majeure de la culture populaire.

Sa carrière : Elle se destine initialement au mannequinat avant d’être repérée par Ben Lyon et de signer son premier contrat avec la 20th Century Fox en août 1946. Au début des années 1950, elle accède au statut de star hollywoodienne et à celui de sex-symbol. Ses grands succès incluent Les hommes préfèrent les blondes (1953), Sept ans de réflexion (1955) ou encore Certains l’aiment chaud (1959) qui lui vaut le Golden Globe de la meilleure actrice dans une comédie en 1960.

En dépit de son immense notoriété, sa vie privée est un échec et sa carrière la laisse insatisfaite (elle se maria à 16 ans pour échapper à son milieu, ayant vécu une enfance difficile faite de mauvais traitements).
Marilyn Monroe a été mariée trois fois : de 1942 à 1946 avec James Dougherty ; de janvier à octobre 1954 avec le champion de baseball Joe DiMaggio ; de 1956 à 1961 avec l’écrivain Arthur Miller.
Sur le tournage du Milliardaire, Marilyn tombe sous le charme de son partenaire Yves Montand. Simone Signoret, la compagne de celui-ci, déclare : Si Marilyn est amoureuse de mon mari, c’est la preuve qu’elle a bon goût. Montand finira par se lasser des sentiments pourtant sincères de l’actrice à son égard et reviendra vers Signoret.

Au début des années 1960, Marilyn est dépendante d’amphétamines, de barbituriques et d’alcool. Elle souffre de divers problèmes de santé mentale, dont la dépression, l’anxiété, une faible estime de soi et l’insomnie chronique.

Le 19 mai 1962, Marilyn Monroe fait sa dernière apparition publique importante, presque ivre, en chantant Happy Birthday, Mr. President à l’occasion de l’anniversaire du président John Fitzgerald Kennedy au Madison Square Garden. Dès les années 1960, les relations de la star avec JFK et son frère Robert Kennedy ont fait l’objet de rumeurs.

Marilyn Monroe meurt dans la nuit du 4 au 5 août 1962. Près de cinq heures se sont écoulées entre l’heure estimée du décès, vers 21 h 30, et le coup de téléphone à la police par son médecin. Après enquête, le médecin légiste de Los Angeles notera sur son dossier : Suicide probable 
Sa mort ne sera jamais élucidée, dès 1962 la thèse de l’homicide étant invoquée, incriminant le FBI ou la CIA.

Plus de cinquante ans après sa mort, Marilyn Monroe reste une des actrices les plus connues. De nombreux documentaires et biographies lui ont été consacrés et plusieurs téléfilms ont retracé sa vie.

Aujourd’hui, une réalisation de notre Cop’s, Anne :

by Anne/ Elles-en-Cadres

by Anne / Elles-en-Cadres

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Le Festival des P’tites Nanas #8

Crise sanitaire oblige, le Festival de Cannes n’a pas lieu cette année…  Pas de panique, les P’tites Nanas ont LA solution et vous proposent de découvrir, chaque jour, une star qu’elles  et leurs Cop’s ont « encadrée ». Soyez membre du Jury et votez pour votre star préférée : likez tout simplement, et la star qui aura récolté le plus de « like » emportera la Palme d’Or ! (vous pouvez liker pour plusieurs stars bien sûr).

5.4.3.2.1 : Action ! Festival des P’tites Nanas… Jour 8

Elizabeth Taylor, actrice américaine d’origine britannique, est née le 27 février 1932 à Londres. Elle est morte le 23 mars 2011 à Los Angeles. Elle quitte l’Europe alors que gronde la 2nde Guerre mondiale et rejoint Los Angeles.

Sa carrière : Elizabeth Taylor passe sa vie sous les projecteurs. Elle se fait remarquer dès l’âge de dix ans, dans There’s One Born Every Minute. Elle sera la jeune maitresse de Lassie, chien fidèle et va ensuite incarner l’une des Filles du docteur March. C’est George Stevens qui lui offre son premier rôle adulte dans Une place au soleil. En 1956, alors qu’elle n’a que 22 ans, elle joue dans Géant, aux côtés de Rock Hudson et James Dean, qui meurt brutalement avant la sortie du film, à 24 ans. Elle interprète ensuite Maggie dans La Chatte sur un Toit Brûlant et devient Catherine dans Soudain l’Eté Dernier, deux films adaptés des textes du romancier américain Tennesse Williams. 

Cléopâtre (Cleopatra), réalisé par Joseph L. Mankiewicz sort en 1963. Outre sa durée -plus de 4 heures- et sa mise en scène spectaculaire, il est connu pour être un des films les plus chers de tous les temps. « Cléopâtre », incarné par Liz Taylor la consacre figure mythique d’Hollywood (et on peut dire alors que, « ma Taylor is rich« ). Elle y rencontre l’homme de sa vie, Richard Burton… pour le meilleur et pour le pire tant leurs liaisons furent passionnelles (ils se marièrent à deux reprises).

Actrice au deux Oscars (pour « La Vénus au vison » et « Qui a peur de Virginia Woolf ? »), elle marque le public tant par ses frasques que sa personnalité très forte.

Côté cœur, la sublime brune aux yeux violets défraie la chronique avec ses nombreux mariages chaotiques… Liz,  s’est mariée 8 fois, avec 7 hommes différents et a eu quelques amants dont on ne va pas énumérer la liste… Elle a eu trois enfants et a adopté sa fille Maria.

Elizabeth Taylor disparaît progressivement des plateaux, à partir des années 1970. La comédienne consacrera le reste de sa vie à défendre les victimes du Sida, et ce dès le milieu des années 80. Elle crée sa propre fondation en 1991.

by Isabelle / Elles-en-Cadres

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Le Festival des P’tites Nanas #7

Crise sanitaire oblige, le Festival de Cannes n’a pas lieu cette année…  Pas de panique, les P’tites Nanas ont LA solution et vous proposent de découvrir, chaque jour, une star qu’elles  et leurs Cop’s ont « encadrée ». Soyez membre du Jury et votez pour votre star préférée : likez tout simplement, et la star qui aura récolté le plus de « like » emportera la Palme d’Or ! (vous pouvez liker pour plusieurs stars bien sûr).

5.4.3.2.1 : Action ! Festival des P’tites Nanas… Jour 7

Micheline Presle, née le 22 août 1922 à Paris, est une actrice française considérée comme l’une des dernières légendes vivantes féminines du cinéma français.

Sa carrière : Micheline Chassagne obtient son premier rôle dans La Fessée de Pierre Caron en 1937. Son nom de scène (Presle) vient de son premier succès dans Jeunes filles en détresse de Georg Wilhelm Pabst (1939) où elle incarne Jacqueline Presle.
À la fin des années 1940, elle quitte la France pour les États-Unis. Elle y rencontre William Marshall (1917-1994), divorcé de Michèle Morgan (1920-2016) dont il a un fils, Mike Marshall (1944-2005). Ils se marient en 1950 et ont une fille, Tonie Marshall (1951-2020), qui devient réalisatrice. Ils divorcent en 1954.
À la fin des années 1960, elle acquiert une grande notoriété en incarnant la pétulante Eve, femme de Daniel Gélin dans Les Saintes chéries, une série télévisée à succès.
En 2007, elle publie un livre d’entretiens avec l’écrivain Stéphane Lambert aux éditions Stock, dans lequel elle revient sur sa longue et riche carrière.

À titre personnel, elle est membre du comité d’honneur de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité et cosigne en 2009 un texte réclamant la dépénalisation de l’euthanasie.

Micheline Presle reçoit un César d’Honneur en 2004.

Aujourd’hui, une réalisation de notre Cop’s, Patricia :

by Patricia /Elles-en-Cadres

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Le Festival des P’tites Nanas #6

Crise sanitaire oblige, le Festival de Cannes n’a pas lieu cette année…  Pas de panique, les P’tites Nanas ont LA solution et vous proposent de découvrir, chaque jour, une star qu’elles  et leurs Cop’s ont « encadrée ». Soyez membre du Jury et votez pour votre star préférée : likez tout simplement, et la star qui aura récolté le plus de « like » emportera la Palme d’Or ! (vous pouvez liker pour plusieurs stars bien sûr).

5.4.3.2.1 : Action ! Festival des P’tites Nanas… Jour 6

Brigitte Bardot, née le 28 septembre 1934 à Paris, est issue d’une famille bourgeoise. Rêvant de devenir danseuse, elle est reçue au concours d’entrée du Conservatoire de danse de Paris en 1948, puis devient mannequin. A 15 ans, elle fait plusieurs fois la Une du magazine Elle.

Sa carrière : Symbole de l’émancipation des femmes et de la liberté sexuelle, elle a tourné avec les plus grands acteurs et cinéastes. Son nom reste associé à celui de Roger Vadim (son premier mari) : Et dieu…créa la femme  fait d’elle une star internationale et contribue à lancer le mythe B.B. Elle enchaîne les tournages, Babette s’en va en guerre de Jacques Charrier, En cas de malheur où elle donne la réplique à Jean Gabin, LaVérité de Raoul Lévy, Le Mépris de Jean-Luc Godard… En 1963, elle accepte un tournage à Londres aux côtés d’Anthony Perkins, Une ravissante idiote, d’Edouard Molinaro. La même année, Jacques Rozier consacre un documentaire à Bardot intitulé Paparazzi. Il décrit le déchaînement de la presse autour de la star qui apparaît alors comme une proie traquée. Le duo qu’elle forme avec Jeanne Moreau dans Viva Maria ! en 1966 est un nouveau succès mondial.

Parallèlement, elle devient la muse de Serge Gainsbourg qui lui compose plusieurs célèbres titres (Harley Davidson, Bonnie & Clyde, Je t’aime moi non plus, Comic Strip).

En 1968, elle accepte de prêter ses traits à Marianne (représentée sous les traits d’une anonyme jusqu’alors) et son buste, sculpté par Aslan, orne toutes les mairies de France.

En 1973, à la veille de ses quarante ans, BB annonce qu’elle met un terme à sa carrière cinématographique et coule, depuis, des jours plus ou moins heureux à la Madrague, à l’écart du monde et avec son quatrième mari.

Elle se consacre depuis exclusivement à la défense des animaux et crée, en 1986, la Fondation Brigitte Bardot, pour mener à bien ses combats.

by Laurence / Elles-en-Cadres

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Le Festival des P’tites Nanas #5

Crise sanitaire oblige, le Festival de Cannes n’a pas lieu cette année…  Pas de panique, les P’tites Nanas ont LA solution et vous proposent de découvrir, chaque jour, une star qu’elles  et leurs Cop’s ont « encadrée ». Soyez membre du Jury et votez pour votre star préférée : likez tout simplement, et la star qui aura récolté le plus de « like » emportera la Palme d’Or ! (vous pouvez liker pour plusieurs stars bien sûr).

5.4.3.2.1 : Action ! Festival des P’tites Nanas… Jour 5

Joséphine Baker, de son vrai nom Freda Josephine McDonald, née le 3 juin 1906 à Saint-Louis, dans le Missouri, aux États-Unis, et morte à 68 ans à Paris, est une chanteuse, danseuse, meneuse de revue, actrice,  et grande Résistante durant la seconde Guerre mondiale.

Sa carrière : Le 25 septembre 1925, le Berengaria, bateau sur lequel Joséphine Baker a effectué la traversée, arrive au port de Cherbourg. Le temps de se rendre à Paris et, très vite, les répétitions commencent. Le 2 octobre 1925, elle passe en première partie dans la Revue nègre au Théâtre des Champs-Élysées. Vêtue d’un simple pagne de fausses bananes, elle danse sur un rythme de charleston — musique alors encore inconnue en Europe — l’interprétation d’un tableau baptisé La Danse sauvage. Le scandale fait rapidement place à l’engouement général. Elle devient l’égérie des cubistes qui vénèrent son style et ses formes, et suscite l’enthousiasme des Parisiens pour le jazz et les musiques noires.

L’année 1930 consacre Joséphine comme chanteuse. Outre La Petite Tonkinoise, Vincent Scotto écrit pour Josephine Baker en 1931 J’ai deux amours, jouant à la fois sur son statut exotique d’étrangère et sur son attachement profond à sa ville adoptive. Le succès est immédiat et l’argent coule alors à flots.

Quelques rôles lui sont proposés au cinéma. Elle tourne notamment sous la direction de Marc Allégret puis dans deux films qui lui sont consacrés et dont Abatino écrit le scénario : Zouzou avec Jean Gabin.

Elle acquiert la nationalité française en épousant en 1937 le jeune raffineur Jean Lion, pour un mariage éphémère (elle avait déjà été mariée à 2 reprises). Le nouveau couple s’installe au château des Milandes en Dordogne.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle joue un rôle important dans la Résistance en devenant agent du contre-espionnage. Elle s’acquitte de missions importantes, et reste connue pour avoir utilisé ses partitions musicales pour dissimuler des messages. 
Ses activités et sa bravoure lui vaudront la médaille de la Résistance française avec rosette et, quelques années plus tard, les insignes de chevalier de la Légion d’honneur et la Croix de guerre 1939-1945.

En 1947, elle épouse Jo Bouillon, chef d’orchestre de renom, dans la chapelle du Château des Milandes. Ils partagent ce même idéal de fonder un « Village du Monde, Capitale de la Fraternité universelle ». C’est ainsi qu’ils adoptent 12 enfants de nationalités et de religions différentes, composant ainsi « La tribu arc-en-ciel ».

Malheureusement, trop généreuse et certainement très naïve, Joséphine ne parvient pas à gérer ses entreprises, et c’est la faillite. Son château est vendue pour une somme dérisoire. Pour rembourser ses dettes, elle remonte sur scène. Elle célébre ses cinquante ans de carrière au théâtre de Bobino à Paris et y fait un triomphe ! Elle y retrace toute sa carrière, les épisodes heureux et malheureux.

Mais Joséphine est épuisée. Après quelques représentations, elle est retrouvée inanimée dans l’appartement qu’elle occupe à Paris. Transportée d’urgence à la Salpetrière, elle meurt le 12 avril 1975 des suites d’une hémorragie cérébrale.

Aujourd’hui, une réalisation de notre Cop’s : Valérie

by Valérie / Elles-en-Cadres

Alors ? allez-vous voter pour Joséphine ? Dans tous les cas, n’hésitez pas à commenter et partager !